A vous de continuer...

Dans cette partie du blog, les grands écrivains c'est vous!

L'objectif est donc d'écrire un petit texte, de quelques lignes, qui va compléter l'histoire déjà commencée. Il vous est demandé de respecter une logique dans l'histoire.

Comment participer? 
Il suffit de poster votre petit texte dans la partie "commentaire".
Votre texte sera ensuite publié par un professeur.
Des indications vous seront données si des modification doivent être faites.

Conseils
- Utiliser des connecteurs logiques.
- Ne faites pas des phrases trop longues.
- Respecter la concordance des temps.


A vos claviers!


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L'histoire commence donc un lundi matin en classe de français. Le professeur commence sa classe quand tout à coup quelqu'un frappe à la porte...

« Entrez » - dit le professeur. Les deux hommes d'un âge indéfinissable entrent dans la classe. « Bonjour, nous sommes les représentants de l’association des professeurs. Il faut que nous vous posions quelques questions. Pourriez-vous nous accorder cinq minutes? » Le professeur fronce les sourcils et répond: « Je ne pense pas que ce soit possible. Vous pouvez me retrouver après les cours. » Mais les deux hommes ne quittaient pas la classe. Un des deux dit: « Il est essentiel que nous vous expliquions la gravité de la situation... »

"D'accord. Si vous insistez, on peut parler dans le couloir." Après avoir donné un devoir aux étudiants il  quitte la classe accompagné par les deux hommes mystérieux. Tout le monde s'est trouvé intrigué,quelques uns chuchotaient, les autres attendaient simplement ce qui allait se passer, personne ne faisait le devoir. Quelques minutes plus tard le professeur est revenu seul. En ramassant ses papiers il a marmonné quelque chose, qu'il n'y avait pas une minute à perdre, qu'il fallait qu'il parte tout de suite. Il s'est excusé devant les étudiants et les a laissés découragés. Tout le monde était choqué: M. Verdure était connu pour sa rigueur et son esprit de discipline, il n'aurait jamais interrompu un cours pour un rien. C'était evident qu'il s'agissait de quelque chose de sérieux...

Le professeur considère le pour et le contre. Les hommes l'attendent dans la voiture. L'un des deux fume, l'autre est en ligne. Le professeur quitte le bâtiment boutonnant en marche son manteau. Il pleut. Puis il monte dans la voiture. L'homme s'adresse a lui: "Il faut que vous nous accompagniez au bureau, ce n'est pas loin". "Bien sûr. Il est nécessaire que vous me mettiez au courant. Mais avant, il est urgent que je previenne ma femme de mon absence." La voiture démarre...

D'abord il était silencieux dans la voiture. Chaque personne réfléchisait à la situation de la classe. Après quelque minutes, M. Verdure a osé dire quelque mots : « J'espère que c'est la dernière fois, que je quitte mes cours..» L'homme, qui s' était habillé en noir, a sourit et a dit «Bien sûr». Après quoi, les hommes sont sortis de la ville. Ils avaient effort. Un homme a commencé à parler : Je voudrais, que vous soyez plus attentif.» M. Verdure n'a pas répondu. Après trente minutes ils sont arrivés à un endroit en dehors de la ville...

Ils arrivent donc, près d'un bâtiment très haut. Les hommes descendent de  la voiture. M. Verdure n'est pas sûr que ces hommes disent la vérité. Quelques efforts dans l'escalier et voilà, un petit bureau devant le professeur. "M. Verdure, signez s'il vous plaît ce papier". Il prend un stylo et lit: "L'accord de réservation et de confidentialité". "D'abord, j'aimerais que vous me mettiez au courant messieurs", protest-il. "Cela concerne votre carrière, comme nous vous avons déjà dit et le ministère de l'éducation exige que vous interrompiez l'enseignement..."